Triste début d’année que de commencer un nouvel article de mon blog par l’attentat contre Charlie Hebdo ! Même à 20 000 km de Paris, on ne peut pas rester à Tahiti insensible à cette tragédie, à toute tragédie humaine, animale ou environnementale d’ailleurs.
Comme si les êtres humains, la plupart d’entre nous étions liés dans la douleur comme dans cette quête ultime du bonheur, de la paix et de la liberté. Ce sont des principes universels pour lesquels les hommes se sont toujours battus.
Avec un prix à payer à chaque événement, à chaque changement, à chaque étape de la vie et de l’histoire, l’homme grave son empreinte inexorablement. L’histoire semble se répéter dans le sillon du progrès et de la violence malgré tout.
La destinée individuelle de chaque homme est intimement liée à celle de ses semblables et à celle de la nature. L’homme est capable d’apprendre. Et pour cela qu’ il doit comprendre et se souvenir. Sa mémoire individuelle est façonnée par la mémoire collective qui ne doit pas s’effacer.
Et ce sont parfois les tragédies qui nous tirent malheureusement de notre sommeil dans lequel la société de consommation et de travail nous plonge malgré nous.
La liberté d’expression est le reflet de la liberté de pensée et d’existence. C’est pour cela qu’il faut se battre pour ces valeurs.
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