Je ne suis pas une adepte des marches collectives. Le boulot, le manque de motivation et de courage n’expliquent pas tout.
Si on ne sent pas concerne par les causes en voyant notre intérêt personnel, on est moins enclin a vouloir participer.
Sans foutisme, égoïsme, aveuglement. De nombreux freins au changement.
Et puis les leaders et les visionnaires sont peut être moins nombreux.
Je ne suis pas personnellement une adepte des foules.
Et pourtant je voudrais pouvoir changer des choses a la hauteur de mes ambitions et limites.
Des petits pas de fourmi …. Je ne me décourage pas en dépit des moqueries. Le temps manque cruellement.
Se sentir différent, penser et agir différemment de la masse laborieuse est déjà pour moi un signe de contestation.
De plus, les technologies actuelles permettent de nous exprimer plus librement. Mais cela n’enlève pas la nécessité d’agir sur le terrain.
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